Nouvelle gifle de Trump à la junte militaire algérienne : le retour de Richard Grenell, l’architecte de la reconnaissance de la marocanité du Sahara
Il semble que la junte militaire algérienne ait toujours du mal à digérer l’impact de la reconnaissance américaine de la souveraineté marocaine sur le Sahara. Dans un nouveau rebondissement, Donald Trump ravive ce cauchemar politique en nommant Richard Grenell, l’architecte de cette reconnaissance historique, en tant qu’envoyé spécial du président américain pour les « missions spéciales ».
Cette décision constitue un coup dur pour le régime algérien, déjà accablé par l’échec de sa diplomatie et son isolement sur la scène internationale. Tandis que les généraux d’Alger persistent dans leur obsession contre le Maroc, les grandes puissances avancent stratégiquement, soutenues par des figures clés comme Grenell, un acteur majeur des succès diplomatiques américains.
Une junte paralysée face à une nouvelle humiliation
Richard Grenell, reconnu pour son expertise et ses compétences stratégiques, se prépare à relever de nouveaux défis en politique étrangère. Pendant ce temps, la junte algérienne reste ancrée dans le passé, répétant des discours dépassés. Avec son expérience et son réseau influent, Grenell représente une menace pour tout régime en perte de crédibilité.
Pour Alger, cette nomination est un choc symbolique, rappelant une diplomatie américaine qui a su, sous Trump, trancher dans des questions complexes et historiques.
Un contraste accablant
D’un côté, Grenell, efficace et visionnaire ; de l’autre, une junte militaire algérienne divisée et sans perspective constructive pour l’avenir de la région.
L’obsession algérienne : une tragédie qui vire à la comédie
Face à cette nomination, il est probable que l’Algérie intensifie ses campagnes médiatiques et publie des communiqués de condamnation. Cependant, ces efforts n’altèreront pas une réalité irréversible : l’Amérique a reconnu la souveraineté marocaine, et cette décision est aujourd’hui portée par un homme inébranlable.
Une leçon de réalisme
Le retour de Richard Grenell est une leçon pour Alger : dans la diplomatie, seule une vision claire mène au succès. Pendant que le Maroc récolte les fruits de sa stratégie proactive, l’Algérie s’enferme dans un cercle d’échecs, prisonnière de son passé et incapable de s’adapter au présent.