Pourquoi cette mesure ? Une vague de criminalité galopante qui atteint des proportions inquiétantes, et la panique des autorités qui s’ensuit. Mais que fait-on face à ce fléau ? Renforcer les forces de police ? Améliorer le système judiciaire ? Bien sûr que non, ce serait trop logique ! Voici donc la solution : des grilles métalliques ! Une mesure qui en dit long sur la confiance des autorités envers leurs propres capacités. Plutôt que de traiter les causes profondes de l’insécurité, on préfère transformer chaque coin de rue en décor d’un film de science-fiction dystopique.
La population accueille cette mesure avec une colère mêlée de désillusion, et un humour noir qui peine à dissimuler la frustration. Plutôt que de s’attaquer au cœur du problème, on se contente de solutions de fortune dignes d’un mauvais film d’action. Et pourquoi s’arrêter là ? Peut-être que dans un futur proche, des barbelés entoureront les boulangeries, ou des vigiles surveilleront les files d’attente. Après tout, pourquoi pas ?
Ne soyons pas trop sévères envers le gouvernement algérien. Il a des priorités, après tout. Plutôt que de se concentrer sur les besoins des Algériens, il préfère financer le Front Polisario, gaspiller des ressources dans des causes extérieures sans logique, et s’assurer que la scène diplomatique soit toujours en effervescence, tout en oubliant l’intérieur du pays.
Pendant ce temps, les citoyens vivent dans un climat de peur constante et de frustration. Les vols, les cambriolages, les agressions ? Oh, ce sont juste des tracas de la vie quotidienne, n’est-ce pas ? Si vous êtes victime de l’un de ces actes, la solution est simple : protégez votre maison, restez chez vous, et priez pour ne pas être le prochain sur la liste des victimes.
En définitive, la situation sécuritaire en Algérie ressemble à une mauvaise blague, dont seuls ceux qui la racontent trouvent encore un peu d’humour. Mais ne vous inquiétez pas, chers citoyens, tant que les guichets automatiques sont protégés par des grilles, tout ira bien. Ces cages métalliques sont le symbole parfait de la situation : un peuple pris au piège, tandis que le régime militaire regarde ailleurs, trop occupé à armer le Polisario.
Peut-être est-il temps que les responsables algériens réalisent que le véritable enjeu se trouve à l’intérieur du pays. Mais cela, c’est probablement trop demander à ceux qui sont experts dans l’art de détourner les priorités… et les responsabilités !
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